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no humanity :: before the end :: whatever happened

The Survivor

21.09.21 11:10

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rang personnalisé : surviving was never an option

identité : grdgdh

visage : rdhgfdjdyfj

crédits : hfdgj

occupation : dfhfgj

âge : fgjdfhj

coeur : fjdhgkkg

allégeance : fhjgkhjl

pronoms IRL : fgjghkf

pronoms IRP : sgsgfhd

triggers : hdjgjfh

warning : fk,dglkdfn

langues rp : dsjkfbfdslhgjkb

Messages : 52

Date d'inscription : 10/07/2021

Nina Vodianova

feat. sarah gadon

trigger warnings • déracinement, violence, décès, agression, ptsd, guerre, bombardements, domaine médical, xénophobie.

Prénom, Nom • De son prénom Ivanina, donné à sa naissance par son frère ainé, ne reste plus que Nina. Surnom affectif qu'on a glissé dans ses oreilles dès son plus jeune âge, qui a fini par coller, plus encore aux Etats-Unis. Genre de façon de se protéger, d'américaniser un prénom trop russe. Yelena, son second prénom, hommage à sa grand-mère disparue trop tôt. Son nom de famille, elle le donne rarement, Vodianova sonne lui aussi trop étranger, sonne trop ennemi de la dernière guerre. Mais même si elle s'abstient de donner son nom, son accent souvent la trahi, lui vaut quelques regards en biais des ignorants et des militaires qui ont connu la guerre.

Date de naissance, âge • Nina est née en 2005, au coeur de l'hiver en janvier. Elle a aujourd'hui trente-six ans, dont dix volées par la fin du monde. Elle a longtemps grandi sur les pavés de Moscou et sous la neige de Russie à l'autre bout du monde. Ce que son visage juvénile ne laisse transparaitre des années qui s'écoulent, ses yeux se le permettent.

Occupation avant la guerre • Elle était autrefois danseuse de ballet. Dans ses costumes délicats, elle faisait grincer les planches du Théâtre Bolchoï de Moscou. Devenue avec les années danseuse étoile, elle était de ces noms que les passionnés n'oublient pas. La grace au bout des doigts et la fragilité en tutu, à des années lumières du monde d'aujourd'hui.

Occupation aujourd’hui • Danser n'aide pas à survivre. Profession du passé, oubliée pour le bien de tous, Nina a du trouver autre chose à faire des ses mains qui n'avaient jamais connu que l'élégance des choreographies. Elle devient au District 10 l'apprentie d'une infirmière qui lui partage un peu de son savoir avant d'elle aussi disparaître. Aujourd'hui, et depuis quelques temps, elle est infirmière pour le Ranch Ortega. Elle a depuis dix ans beaucoup appris, assez pour profiter de la confiance qui ne vient qu'avec l'expérience.

Lieu de vie avant la guerre • Nina vivait en Russie, à Moscou, à quelques pas de biche du théâtre dans lequel elle était danseuse. Des souvenirs d'un hiver froid que lui rappelle la neige du Maine parfois sans jamais véritablement égaler le climat qui l'a vu grandir. Un appartement aux plafonds hauts et aux moulures classiques où il faisait bon vivre, un café pas très loin. Des ruines sans doute aujourd'hui.

Lieu de vie actuel • Nina a beaucoup bougé malgré elle. Incapable de quitter le pays pour retrouver sa patrie il y a d'abord eu New-York, détruite et bombardée dont elle s'est sortie physiquement indemne mais mentalement abîmée. Puis il y a eu Louisville, la promesse d'un nouveau départ, de murs rassurants, d'une certaine sécurité. C'est le District 10 qui l'a accueillie quelques années, avant de lui aussi partir en fumée à la rébellion des uns et la vengeance des autres. Envoyée au District 11 à la fusion des deux quartiers, elle a espéré pouvoir rejoindre un monde de liberté avant d'être séparée de celui qui l'avait convaincue de fuir. Retrouvée quelques semaines plus tard par le Ranch, ses connaissances en médecine et sa langue mère de service, elle a fini par poser pied chez les Ortega. Depuis elle vit dans une petite maison de bois, construite par ceux qui lui ont fait confiance et en qui aujourd'hui elle croit.

Statut civil • Elle était fiancée, à Moscou. Une bague au doigt depuis perdue, échangée à un garde du District 11 contre sa liberté et celle de Jax. Le fiancé, elle n'en parle pas. Amour de jeunesse perdu à l'autre bout du monde. Impossible d'en savoir plus. Moscou tombée. Elle en a fait le deuil il y a bien des années maintenant. Aujourd'hui, elle n'y pense plus vraiment. Croire en l'amour lui paraît presque naïf, même si parfois lorsqu'elle voit les autres elle se surprend à tristement jalouser leur bonheur.

Allégeance • Au ranch, qui l'a accueillie, lui a offert un toit, une raison de croire encore à un certain degré d'humanité et de normalité.

Caractère • Douce - craintive - sensible - gracieuse - délicate - tendre - bienveillante - altruiste - souriante - solaire - maternelle - anxieuse - secrète - discrète - jalouse - à l'écoute - sociable - affectueuse - calme - sang froid - docile - maladroite - méfiante - influençable - parfois dure - optimiste - résiliante - forte - endurante - toujours alerte - fatiguée.

BARELY SURVIVING

partie libre

• Nina parle un anglais encore bancal par moment, elle n'a commencé à apprendre l'anglais qu'à la création des districts. Sa langue natale est le russe, dont elle porte encore l'accent : un accent terriblement mal vu, car synonyme de guerre, de fin du monde.

• Danser lui manque terriblement. Il lui arrive parfois le soir de se souvenir de quelques pas, de quelques scènes dans son petit salon. Mais toujours seule. On lui a trop souvent dit que la danse n'était pas utile, perte de temps en ce nouveau monde : elle s'est faites à l'idée et n'ose faire perdre son temps à personne.

• Elle savait jouer du piano parfaitement ou presque, forte d'une éducation classique, conservatrice, privilégiée.

• Elle ne parle pas beaucoup d'elle. Son passé est un mystère qu'elle ne laisse personne percer. Dépouillée de tous ses biens les plus précieux, il ne lui reste que ses souvenirs qu'elle n'aime pas partager, trop souvent pillée.

• Elle n'a pas beaucoup de cicatrices pour une survivante, a toujours eu plus ou moins de la chance dans son malheur. Ne reste d'une trace le long de sa mâchoire qui lui rappelle sans cesse la perte de ceux qui souhaitaient l'aider.

• Elle savait très bien patiner, la danse classique aidant, les patins étaient une seconde nature pour la native moscovite. Aujourd'hui elle n'a pas vraiment eu l'occasion de patiner à nouveau.

• Malgré sa carrure fine et son apparence de poupée de cire, Nina cache une certaine force d'esprit et de corps. La danse étant une pratique sportive comme une autre, et n'ayant jamais perdu espoir malgré les drames et les trauma, elle tient le cap.

• Un chat a élu domicile dans sa petite maison de bois, surnommé Myshka par la russe, ce qui signifie petite souris dans sa langue natale. Jeu de mots que personne d'autre qu'elle ne semble comprendre. Secret stupide bien gardé.

• Les épreuves qu'elle a surmonté l'ont laissée en proie à un syndrome de stress post-traumatique dont elle essaie de se défaire en vain. Elle ne doute pas qu'un jour les cauchemars se tairont, et les flashbacks disparaîtront. Qu'un jour ses épaules se relâcheront.

• Elle a fait le deuil de sa famille, son fiancé, ses proches. Bien qu'elle n'en parle pas, elle en serait capable sans pleurer aujourd'hui. L'absence de nouvelles, puis l'effondrement de la société lui laisse peu d'espoir quant à un jour retrouver les siens. Elle si optimiste d'ordinaire s'y est fait.

• Suite aux bombardements de New-York, et après avoir passé plusieurs longues heures incertaines sous les gravas de son hotel, Nina a développé une claustrophobie parfois débilitante. Elle ne supporte pas les petits endroits clos et étroits, d'avantage dans l'obscurité.

• Elle a toujours voulu fonder une famille, et a une certaine aisance auprès des enfants. Mais elle a depuis longtemps abandonné l'idée d'un jour en avoir l'occasion, son optimisme s'arrêtant aux autres elle ne parvient pas à s'imaginer elle-même partager le bonheur de couples ou de familles. Nina les jalouse silencieusement, les envie, et une part d'elle continue secrètement d'espérer.

• Elle a tendance à fuir les conflits, plus encore depuis qu'elle a croisé des survivants des Trois Rivières qui l'ont laissée craintive des mouvements brusques. Nina n'aime ni la violence, ni les tensions et ne trouve dans ce monde pas l'exutoire que beaucoup semblent apprécier. Le sien était la danse, depuis longtemps abandonné.

derrière l'écran

prénom, pseudo • margot, mgt, french and furious. pronoms • she/her. âge • 26. fuseau horaire • uk. crédits • mgt, murallian. rythme de rp • une fois par semaine ou plus suivant l'inspiration et le temps. comment as-tu connu le forum ? • my bb. suggestions • donnez moi des suggestions.

The Survivor

17.10.21 15:29

image rang : test sujet A0fa34f2689fd6638613523fe5068bb47b77f3cd

rang personnalisé : surviving was never an option

identité : grdgdh

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le faux prophète

feat. simon baker, yahya abdul-mateen ii, gong yoo, marwan kenzari, lenny kravitz, jang hyuk, nikolaj coster-waldau, rami malek, jude law, lee byung hun, morris chestnut, etc.. — une tête charismatique, loup dans bergerie.

trigger warnings • violence, meurtres, incarcération, secte, suicide collectif cw • manipulation, mutants, faux décès.

Prénom, Nom • libres. on peut partir sur un surnom comme j'ai fait avec baron, ou bien connaître son nom d'origine (avant 2035). changement d'identité à considérer de la prison jusqu'au ranch (depuis 2035).

Date de naissance, âge • libres mais 40 ans minimum. info: +/- 5 ans accepté entre l'âge du fc et celui du personnage.

Occupation avant la guerre • libre. poste haut placé comme un truc passe-partout, tout est bon, pas un profil militaire par contre. meurtrier récidiviste, tueur en série soit de cas isolés soit de groupuscules, au choix.

Occupation aujourd’hui • libre. soit liée à la paroisse catholique que les ortega ont préservé (cf. mode de vie | @"Gabriel Ibarra"), soit liée aux ressources où il passerait pour monsieur tout-le-monde, un mec bien. ce ne sont que des idées cela dit !

Lieu de vie avant la guerre • à la prison des trois rivières depuis 2028 ; partage sa cellule avec baron. test sujet 1f440

Lieu de vie actuel • au ranch où il mentit sur les circonstances de sa survie afin d'y entrer.

Statut civil • libre, sexualité libre également même si bon, y'a pas eu d'hésitation quant à partager sa couche avec baron back then. :oui:

Allégeance • à lui-même et à l'ordre nouveau. il persuade et/ou est persuadé que les vivants doivent changer (mourir et muter) pour se libérer de tout mal et atteindre la béatitude. il peut être totalement matrixé par l'idée comme ne vouloir que le monde à ses pieds, donc soit simple mouton naïf et déconnecté ou bien le gourou et grand méchant loup en personne. dans les deux cas, ça fait plus de quinze ans qu'il s'est donné pour mission de répandre la vérité au plus grand nombre et de réaliser sa vision qu'importe le lieu où il se trouve.

Caractère • patient, manipulateur, éloquent, observateur, aimable, cultivé — à développer. libre.

Crédits • avatar / kawaiinekoj. icons / childish.

Compétition • acceptée mais je préfère que les différents partis se concertent tous ensemble à ce sujet avant tout.

BARELY SURVIVING

informations importantes

✹ histoire libre d'avant la prison. franchement tu peux faire péter ton imagination, par rapport à ses liens familiaux, sa vie pro et perso, ses hobbies et j'en passe. et puis il a pu avoir été membre d'une secte survivaliste en personne de ce temps-là, ou bien ne se nourrir que du dark web et compagnie, à toi d'aviser. test sujet 1f440

✹ pareil pour ses crimes, bien qu'il aurait vraiment commencé à tuer aux alentours de 2023, pour se faire choper et traîner en justice vers 2026-2027, et enfin reconnu coupable en 2028 puis incarcéré. ses meurtres connus sont tous liés à ses croyances: il pense délivrer ses victimes et ainsi leur rendre service malgré toute réticence, cette dernière qu'il traduit pour un simple manque de courage à exécuter ce qui est nécessaire.

les parties de chrono le concernant dans ma présentation: (fiche entière ici)

2028 providence
le nouveau pose ses affaires, n’a pas l’air de trimballer photos ou souvenirs avec lui. apparemment incarcéré pour meurtres ; un récidiviste. et surtout beau-parleur, de la trempe des moulins à paroles, des piafs qu’on tue d’une pierre deux coups. il a l’air de comprendre, aux premiers abords, mais ne perd jamais une seconde dès qu’il le peut, cite yeux fermés littérature et mouvements de pensée, partage ses idées qu’il bouffe ou qu’il pisse. t’as beau l’envoyer en isolation, à l’infirmerie, rien n’arrête le fanatique dans ses philosophies, croyances, superstitions, rien selon lui ne pourra entraver l’arrivée de la fin des temps.

2030 evil hour
personne ne lâche le morceau, et l’info tourne en boucle, qu’importe l’appli ou la chaîne: le monde était inévitablement entrain de foncer dans un mur. on ne saurait dire quand exactement, pourtant c’était tout comme. t’avais beau simuler ne voir que le bout de ton nez, ici aux trois rivières, ceci dit tu ne faisais que penser davantage à tes proches au fil des jours. et c’est à force de tourner en rond, de te triturer les méninges, d’essayer de trouver des solutions par toi-même, sans réelle inspiration, que ses idées à lui sont petit à petit devenues les tiennes ; à mesure de tendre l’oreille à ses dires, de directement l’interroger, d’échanger jusque tard la nuit sans s’en inquiéter, de faire part de tes peurs et désirs comme si de rien n’était. une proximité nouvelle, profonde. par bout d’estime, par morceau d’être -- des soupirs intimes aux communions dites fraternelles.

2031 climax
plus rien ne répond. couloirs et halls baignent dans le rouge, par les sirènes en alerte et les vagues de violence. tes phalanges craquent elles aussi, suivent le ton donné, brisent cages et mâchoires sur la voie que l'on te crée. gardes, visiteurs, prisonniers.. nombre d'entre eux fuient, nombre d'entre eux meurent, nombre d'entre eux restent. ce n'est qu'une fois avec du recul, sourd des bombes et des cris, anesthésié par l'isolement et l'habitude, qu'on réalise enfin ce qui s'était réellement passé ; une nouvelle ère venait de commencer, tant dehors, avec les mutations, tant dedans: avec le temps, certaines moeurs restèrent inchangées, comme les gangs, leurs quartiers et habituelles animosités, tandis que d'autres virent inévitablement le jour, suite aux différentes dynamiques de pouvoir et une volonté partagée de (se) survivre. c'est ainsi que baron, l'auto-proclamé, parvient tout compte fait à obtenir l'unanimité, servant de près comme de loin les attentes du plus grand nombre, entre la pègre, la plèbe et les plus équivoques -- en gagnant les coeurs ou forçant des mains, jusqu'à (faire) exécuter violeurs et prédateurs reconnus aux portes des trois rivières afin d'instaurer une certaine éthique quant à la nouvelle existence qu'ils allaient tous ensemble devoir mener. c'est dans ce même état d'esprit que tu cherches notamment à canaliser ardeurs et passions en organisant ce qu'on pourrait décrire comme des règlements de compte presque officiels, et vraisemblablement de bonne guerre: principalement une bonne occasion de se battre au corps à corps et de se prouver, qui défoule ou qui divertit, quoiqu'il fut dans un premier temps très compliqué d'appliquer l'interdiction d'usage d'armes quels qu'elles soient durant les combats.

2035 armageddon
on te retrouve plus tard le cul dans l'herbe, les yeux dans le vide, l'esprit bien loin. l'hémoglobine coule encore de ton visage, à chaud, acide ; à t'en brûler l'épiderme ainsi exposé au soleil. t'es comme absent de toi-même, de l'instant présent, ne prêtes plus attention à la réalité et ton environnement. juste l'écho bourdonnant des marcheurs abattus tel un disque foutu qu'on aurait oublié sur le gramophone: à tes côtés plusieurs dormeurs du val, ou du moins ce qu'il pouvait bien en rester. t'avais cherché à retarder l'échéance pourtant, arrêter la matrice.. mais ce ne fut pas assez. arrivé trop tard, et avec deux longueurs de retard, à l'heure cependant pour témoigner du carnage qui se déroulait sous tes yeux, entre les jugulaires d'arrachées et les estomacs d'évidés. un mélange d'horreur et de colère au fur et à mesure des morsures, au fur et à mesure des fatalités ; à pomper dans ton désarroi le maigre espoir de pouvoir sauver ne serait-ce qu'une personne -- n'importe qui. volontaires, victimes, c'est tout le groupuscule de croyants qui se retrouve corps et âme à la merci des mutants, eux qui hurlent et rendent leur dernier souffle au dessus du lac garnet dans l'optique que la mort même leur réponde et vienne les libérer du joug que vous partagiez alors tous. et puis toi, laissé derrière, laissé pour compte, plus seul que jamais et en plein cauchemar, la main toujours crispée sur sa barre de fer, étouffé par le choc et les émotions. les défunts furent éventuellement incinérés dans les jours qui suivirent, et cet événement tu en ta présence depuis lors: un sujet délicat encore de nos jours, que l'on n'aborde pas comme ça.

✹ on part du principe que le faux prophète a survécu au suicide collectif, profitant de la violence perpétrée par les mutants pour qu'on puisse pas reconnaître les cadavres, étant tous habillés de la même façon, et donc feindre sa propre mort.
✹ son développement après ça est libre: j'l'imagine bien causer la mort de plusieurs mini-groupes de survivants sur son chemin jusqu'au ranch, genre vraiment de façon délibérée, et puis montrer patte blanche à l'interrogation.

cassedédi d'ma fiche (oui une autre blblbl)
petit appetizer du lien tmts

c’est qu’au delà du message, au delà de la conviction et de la confiance, il y avait aussi son battant sur l’autel, posé là, entre les paumes du loup, docile et patient dans la cécité de la solitude et des sentiments désespérés. à le vouloir en frère d'armes, à le vouloir pour lui-même ; faire naufrage ensemble, entreprendre actes de bravoure pour mériter son admiration, le sauver d'une mort certaine, ou mourir pour lui -- mourir dans ses bras comme un spartiate, embrassé une fois sur les lèvres... ou juste faire ses courses en attendant. qu'il ait su ce qui ne pouvait être dit, et qu'il réponde parfaitement, dans la même langue.

liens prévus du scénario

baron kushwaha •

you fucking fuck fuck you
avant, tout était cabale ; de la créance à la caresse. des vœux susurrés dans le creux d'une main, ou par dessus l'épaule, ou entre les deux pages d'un bouquin. le berger en escorte de l'ange comme ours bercé par le miel, savamment gardé dans la faim des gestes et des non-dits. pendant, puis s'installa le doute. le fidèle questionne l'enseignement du guide, prend peu à peu ses distances, demande plus de temps pour mieux tout tirer au clair. par indifférence ou précipitation, rien ne parvient à nuire l'inévitable. après, baron lui a tout donné, le pensant mort, enterré avec les siens ; ses larmes, ses remords et insomnies.. ses excuses, même. et présentement, on peut dire qu'il a tourné la page, bien qu'il continue de se battre avec sa propre conscience: il a depuis su tout de même réaliser suite à son deuil et ses compagnons d'infortune que les sermons de son ami d'autrefois n'étaient que chimères et mauvais en tout point, et qu'il n'était qu'une autre victime de ses conspirations. de ce fait, il a comme la caboche de scindée en deux, un côté ne pensant qu'au pardon, l'autre ne réclamant plus que dédommagement ; mais l'amertume lui grignote le cerveau, une incompréhension tournée colère qui passivement se transforme en vendetta inassouvie.

@"Khan Amjad" •

you're dead to me
l'aurait pu le suivre jusqu'au bout du monde, khan, l'était aveuglé à l'époque, khan, l'était drogué jusqu'à l'os, khan. pour autant lorsqu'il a passé les premiers mois en taule, l'a trouvé en ce guide un nouveau moyen de percevoir le monde, genre d'accroche pour passer les sept ans annoncées lors de son procès. la mainmise s'est pas faite avec grande difficulté, y buvait ses paroles comme un shot lors d'une soirée faite pour se murger, y'a eu des heures à causer, sourires échangés, confiance donnée d'un côté, saurait pas si ç'a été de l'autre. saurait pas dire comment il l'a perçu, un proche, un ami, un genre de père disparu, une figure à prendre tant comme une figure céleste que comme un véritable homme de chair et de sang. puis y'a eu l'après qu'a rien changé à la nature de la relation, le culte grandissant et le sevrage agissant, y s'est pas éloigné du prophète continuant à cœur battant, participant à sa façon aux paroles à véhiculer, sans pour autant être une main droite ou un second auquel donner toutes les tâches secondaires. y'a tout qu'a explosé quand y'a eu le sacrifice au lac garnet, l'envie de vomir jusqu'au moindre morceau de son âme, la perte d'une communauté au même titre qu'un visage rassurant, c'est un de ses repères qui s'est barré ce jour-là. l'a fait son deuil, khan, plus vite pour lui que pour les autres, l'estomac au bord des lèvres quand l'entend son prénom sortir des limbes, la rancœur aigre qui lui remonte le long de la trachée, le regret d'un être adoré jusqu'à la perte de réflexion.

(+):

The Survivor

17.10.21 15:30

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ranch ortega

land of the lucky

informations générales

NOM : Le Ranch Ortega.
SURNOMS : Le ranch.
NOM DES HABITANTS : Les ranchers.
NOMBRE DE SURVIVANTS : 364, 61% de femmes.
DATE DE CRÉATION : 4 décembre 2033.

RÉPUTATION :
Les ranchers ont la meilleure réputation parmi les trois camps : on leur prête de bonnes intentions, une grande résilience, de la bravoure aussi, et on sait que le travail ne leur fait pas peur. Sa population a la réputation de venir en aide aux autres, mais aussi d'être redoutable au corps-à-corps, le travail manuel ayant aidé. Cette réputation de communauté soudée et bienveillante est à double tranchant : on les sous-estime trop souvent, ce qui joue parfois en leur faveur cependant. Pour autant, cette réputation a été entachée par les multiples rejets aux portes de leur communauté : leur système de sélection est le plus sectaire des camps. De ce fait, le ranch a causé plus de frustration que les autres camps, et donc, potentiellement, a plus d’ennemis. Ces personnes trouvent les ranchers bien plus sectaires et hypocrites qu’il n'y paraît au premier abord, se méfiant de leur réputation trop positive dans un monde comme celui d’aujourd’hui.

SÉCURITÉ : 8/10
Le Ranch Ortega a bien profité de sa situation géographique au début de la guerre et des premières apparitions de mutants. Loin des villes et situé dans la campagne, il a eu le luxe d'être épargné par les premières attaques de rôdeurs. Construit sur un genre d’île, car bordé par une rivière et par les côtes, il jouit de n'avoir qu'un seul point d'entrée et de sortie accessible facilement, ce qui permet de mieux surveiller les allers et venues. De plus, après des années de nettoyage intensif, les ranchers ont réussi à nettoyer la forêt les séparant de la côte de toute trace de mutants. Bien que parfois, des animaux parviennent à y faire irruption, la forêt est généralement un endroit peu dangereux. Le taux de criminalité au ranch est historiquement bas, puisque tout crime est très sévèrement puni par un bannissement immédiat.

RESSOURCES : 10/10
Le ranch a toujours été plus ou moins autosuffisant. Possédant de nombreuses bêtes et de nombreux hectares de culture, ainsi que des panneaux solaires, les ranchers n’ont jamais manqué de rien, même avant la dernière guerre. Le passage d’une ère à l’autre a donc été plus simple. Lorsque le ranch s’est agrandi et est devenu une véritable petite communauté, presque un village, le système était déjà bien rodé.

NIVEAU DE VIE : 9/10
Le niveau de vie y est le plus élevé. La vie y est agréable, comme en campagne. On vit de ses récoltes, sans se soucier de l'au-delà de la rivière, que peu de ranchers franchissent. Le taux de natalité y est le plus élevé, tant la vie y est saine et propice à l’éducation d’enfants. On y vit un peu comme avant, comme à une autre époque, mais on y vit bien et confortablement.

REJOINDRE, SORTIR OU QUITTER LE RANCH :

REJOINDRE LE RANCH :
Pour rejoindre le ranch, il faut prouver sa valeur et son utilité. Il s’agit du groupe le plus sectaire et le plus difficilement joignable, puisqu’il ne fait pas dans la charité malgré ses valeurs. C’est Novia Ortega qui a le dernier mot. Elle rencontre personnellement chaque nouvelle âme et lui accorde ou non le droit de rester : c’est donc elle qu’il faut convaincre, en expliquant quelles compétences on a à offrir. Novia ne donne jamais de seconde chance, que ce soit pour ses propres ouailles ou pour les nouveaux visages. Elle met toujours la sécurité de son clan avant les besoins des autres, et a déjà refusé bon nombre de personnes sur ce critère, dont les rebelles du District 11 qui ont frappé à sa porte. Lorsque des ranchers trouvent des personnes blessées, il leur arrive de les ramener au ranch pour leur permettre de se remettre sur pieds : on leur offre alors la possibilité de plaider leur cause auprès de Novia. Un pari que les Ortega prennent, au cas où quelqu'un se trouverait avoir des compétences rares et précieuses.

SORTIR DU RANCH :
Les ranchers sont libres d’aller et de venir à leur guise. On leur met à disposition des armes pour se défendre, mais pas de chevaux, qui restent au ranch en cas d’urgence et pour les équipes de chasse, les raiders et personnes responsables de la sécurité extérieure du ranch. Les allers et venues sont cependant contrôlées. Des gardes aux portes du ranch notent qui entre et qui sort du ranch afin de garder un oeil sur le clan, et de lancer des patrouilles de recherche en cas de disparition. C'est aussi, et surtout, afin d’éviter tout intrusion, puisque le ranch est interdit d'accès à ceux qui n'ont pas la bénédiction de Novia.

QUITTER LE RANCH :
Quitter le ranch n’est pas une décision à prendre à la légère. Novia, et les Ortega en général, ne donnent pas de seconde chance : quitter le ranch, c’est le quitter pour de bon sans possibilité de revenir en arrière. Si telle est votre décision, vous aurez la possibilité d’emmener avec vous tout ce que vous possédez, mais pas de cheval, qui restent la propriété des Ortega. Le ranch vous mettra à disposition une arme également, puis vous montrera la porte non sans amertume de vous voir quitter ses terres.

The Survivor

17.10.21 15:30

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Chronologie

days gone by

TW : guerre, violence, mort, catastrophes climatiques, mutations génétiques, exécutions, rébellions.

Les évènements avant 2031 sont ceux que nous connaissons jusqu'à aujourd’hui (sans le covid-19) en plus de l'escalade du changement climatique et des tensions naissantes entre puissances politiques jusqu'à la dernière guerre. Pour en savoir plus sur celle-ci, rendez-vous dans ce sujet.

THE BEGINNING OF THE END

2031 JANVIER
Les Etats-Unis attaquent la Russie en premier, et dans l'imaginaire commun des américains c'est pourtant la Russie qui l'aurait cherché, mérité, à trop menacer les gendarmes du monde. La Chine est bombardée en seconde, subissant le même sort dans les médias états-uniens. Moscou tombe sous les bombes, suivie de Pékin. C'est le début de la dernière guerre qui opposera graduellement toutes les puissances mondiales possédant des armes nucléaires et chimiques. Les forces armées américaines sont déployées sur le territoire américain ainsi que dans les eaux internationales.

2031 FEVRIER
Les pays impliqués dans la dernière guerre ferment officiellement leurs frontières aux étrangers et installent un état d'urgence sur leurs territoires. Les plus grandes villes des Etats-Unis tombent les unes après les autres sous les bombardements des forces ennemies. New-York, Los Angeles et Washington sont les premières grandes villes à être touchées et détruites.

2031 MARS
Les Ortega se rassemblent dans leur ranch près de Louisville, toute la famille s'y retrouve avant que les trajets entre états ne soient officiellement interdits aux USA. Au même moment, c'est l'apparition des premières mutations dans les régions bombardées en premier. Ces dernières passent d'abord inaperçues avant qu'elles n'atteignent les campagnes aux abords des zones touchées, notamment par le biais de faune et flore mutantes et de coureurs.

2031 AVRIL
Les gouvernements autour du monde se voilent la face. Les premiers coureurs sont d'abord qualifiés de cas isolés, on pense alors à une nouvelle drogue qui rendrait violent. Mais bien vite les puissances mondiales se rendent compte qu'il s'agit là de mutations génétiques engendrées par les radiations nucléaires et les actifs chimiques des bombes mais il est déjà trop tard.

2031 MAI
La dernière guerre prend subitement fin quand la Chine et la Russie se retirent du conflit pour gérer les crises humanitaires et sanitaires de leurs pays respectifs liées à l'apparition des premiers coureurs et mutations. On se soucie soudainement plus des mutations qui rongent la population mondiale et la faune et flore également. Aux Etats-Unis, on construit des murs autour des villes restantes et on sépare les plus grandes en districts afin de plus facilement gérer la population et les nouvelles menaces. C'est la création des districts sous les ordres du gouvernement.

2031 JUIN
Débordés par les nouvelles menaces et le manque de ressources, les militaires du pays s'allient pour renverser le pouvoir et prendre le gouvernement en main. C'est le début de la loi martiale. L'armée dissout le reste du gouvernement des Etats-Unis et interdit les civils de quitter les districts dans lesquels ils vivent. Le 18 juin, Maeve Taylor prend le pouvoir au District 11.

2031 JUILLET
L'armée ordonne aux forces aériennes de bombarder les ruines de grandes villes afin de nettoyer ces dernières des rôdeurs qui commencent à y apparaître. Mais graduellement ces bombardements finissent par être dirigés vers des districts encore habités par des survivants en proie à de trop nombreuses mutations, qu'on sacrifie pour le "plus grand bien". Le succès de ces bombardements pousse l'armée à instaurer des règles plus strictes au sein des districts, installant progressivement des dictatures dans les districts survivants.

2032 MARS
Plus d'un an après le début de la dernière guerre, les survivants des districts et d'autres groupes semblent avoir trouvé un équilibre dans leur fonctionnement. Mais quand les claqueurs voient le jour, les districts commencent à tomber les uns après les autres : personne ne s'attendait à ce que les mutants ne mutent encore.

THIS IS OUR LIFE NOW

2033 DÉCEMBRE
Les Ortega accueillent pour la première fois des étrangers dans leur ranch. Un de leurs enfants étant tombé gravement malade, ils acceptent d'offrir l'asile à un groupe de survivants contre leurs soins. Ce seront les premiers mais pas les derniers. C'est la création de la communauté du ranch Ortega telle qu'on la connaît aujourd'hui.

2036 AVRIL - JUILLET
Dans le district onze, certains survivants commencent à vouloir se rebeller contre les militaires au pouvoir. Une résistance s'organise, mêlant civils et soldats. Mais leur coup d'état échoue et ces derniers sont bannis du district. À leur tête : Isaac Bauman, le bras droit de la Générale.

2036 AOÛT
Le groupe de rebelles du District Onze demande l'asile au Ranch Ortega qui le leur refuse, de peur qu'ils ne se rebellent ici aussi. Après un mois d'errance, le groupe de bannis trouve refuge dans la prison des Trois Rivières qu'ils nettoient et réparent avant de s'y installer. C'est la création des Trois Rivières.

Les trois groupes de survivants de la région de Louisville cohabitent comme ils peuvent sur un territoire à la fois vaste et restreint. Les survivants des Trois Rivières attaquent régulièrement les raideurs et chasseurs du District Onze pour leurs ressources, mais ignorent ceux du Ranch qu'ils considèrent peu. Tandis que le Ranch et le District Onze s'allient pour survivre le 30 août, instaurant des échanges et du troc entre leurs groupes.

2041 JANVIER
Le District 11 commence ses essais et expériences scientifiques sur des solitaires, et détenus, afin de chercher un moyen de contrôler les mutations. Ces tests sont officieux et classés secret défense.

2041 MAI
Fatigués d'être le dommage collatéral du conflit entre le District Onze et les troyens, le Ranch Ortega décide d'entamer des négociations pour réunir les trois camps. Ils souhaitent faire signer un traité de paix à tous, et mettre un terme aux tensions. Après des semaines d'aller-retours, les trois camps finissent par accepter de tenter une union. En réalité, le Ranch Ortega fait chanter le District Onze, les menaçant d'annuler leur partenariat s'ils n'acceptent pas de faire la paix avec les Trois Rivières. Et les Trois Rivières ont accepté de baisser les armes car leurs ressources, suite à un incendie, étaient dangereusement basses et menaçaient de ne plus leur tenir longtemps.

2041 JUIN
Les Trois Rivières sont invités à plusieurs occasions au rassemblement (pour en savoir plus, voir l’annexe sur les relations des camps) où malgré les tensions, tout semble se dérouler sans accrocs. C'est parce qu'ils passent ces tests qu'il est décidé que le traité de paix sera signé en septembre.

2041 SAMEDI 30 SEPTEMBRE
Les trois camps de survivants de la région de Louisville qui jusqu'ici survivaient tout en se déchirant sont sur le point de signer un traité de paix, pour les bonnes comme pour les mauvaises raisons. C’est lors du dernier rassemblement de septembre, accueilli par le Ranch Ortega, que le traité doit être signé. Un brouillard de spores gâche la fête, et sépare les leaders qui doivent reporter la signature du traité. On compte quelques blessés, et quatre décès chez les ranchers. Ainsi qu'un disparu : Park Elio, le négociateur du traité, qui manque à l'appel. Les survivants rentrent chez eux lorsque le brouillard se lève, et les troyens partent sans Elio dont on ne retrouve pas la trace.

2041 SAMEDI 30 SEPTEMBRE
Pendant le rassemblement, un groupe de survivants armés en a profité pour cambrioler l'armurerie du District 11. Ils ne sont pas retrouvés.

2041 SEPT - NOV
Période de jeu actuelle, voir ce sujet pour en savoir plus.

Merci de ne pas dater de RP au-delà du 20 novembre 2041.

The Survivor

24.10.21 15:11

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bientôt la fin du vote

Le vote d'intrigue ferme bientôt ses portes. C'est le moment d'être stratégique, on le fermera mercredi 22 septembre, car le week-end prochain le MJ postera dans l'intrigue. Préparez-vous !

le deuxième résumé des résumés d'intrigue

Déjà six pages dans le sujet commun... du coup un deuxième résumé des résumés est disponible juste ici. Tout le monde peut encore participer au sujet, n'hésitez pas à y faire un tour avant que le MJ ne vienne secouer tout ce beau monde.

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The Survivor

24.10.21 19:51

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